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ARCHIPEL : SOLUTION DE COMPENSATION ECOLOGIQUE

Nos outils

ARCHIPEL : SOLUTION DE COMPENSATION ECOLOGIQUE

Des outils uniques pour une réponse rapide et personnalisée

Archipel, dispose, pour ses missions d’opérateur de compensation, d’outils uniques permettant l’accompagnement adapté de tout interlocuteur confronté à l’enjeu de la compensation environnementale. 

Ces outils spécifiques, liés de la constitution même de l’entreprise, qui met en relation ingénierie foncière et expertise écologique permettent d’assurer, dans les délais impartis, l’identification de fonciers compensatoires répondant aux exigences réglementaires, la caractérisation des enjeux environnementaux sur ceux-ci de façon rapide ainsi que la sécurisation des mesures de compensation qui y seront mises en place grâce à un modèle innovant. 

Nos outils

 

Archipel est l’interlocuteur idéal pour identifier rapidement les fonciers les plus pertinents et mettre en place un programme de compensation. Les méthodes géomatiques, le réseau et les bases de données des Safer permettent de repérer les emprises foncières adéquates, qui seront expertisées par Biotope puis sélectionnées. 

 

Par l’intermédiaire de Biotope nous disposons d’une méthodologie d’expertise rapide des enjeux environnementaux d’un site. Le prédiagnostic écologique permet d’obtenir en un seul passage d’expert, une idée des résultats des diagnostics à venir. Dans le cadre de la compensation environnementale et en présence de délais réduits, il s’agit d’un outil d’aide à la décision pour les interlocuteurs d’Archipel. 

Archipel offre une solution innovante de sécurisation des mesures compensatoires de ses interlocuteurs grâce au cahier des charges de la Safer de l’Île-de-France et des Safer partenaires en région. Celui-ci permet, suite à une rétrocession d’un bien par l’organisme, d’intégrer un cahier des charges auquel peuvent être annexées les mesures compensatoires dans toute leur spécificité.

La méthode fonctionnelle dite « miroir » fait partie des méthodes de compensation d’équivalence par écarts de milieux ou intégrées.  Il s’agit de qualifier l’intérêt des habitats qui sont détruits et l’intérêt des habitats avant et après restauration , afin d’évaluer l’équivalence écologique voire le gain attendu par la compensation.  Elle consiste à quantifier séparément, mais avec les mêmes indicateurs, les pertes et les gains de biodiversité, puis à en vérifier l’équivalence. 

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